El tren se pone en marcha. Hortensia vuelve la cabeza, desolada, afectando interés por el paisaje; pero, en realidad, sus ojos húmedos ni siquiera ponen atención en los árboles. Luciano busca un medio ingenioso para desembarazarse del viejo, no encontrando sino expedientes demasiado enérgicos. Al fin se calma esperando que su compañero los abandonará en Nantes o en Vernón, pero sus esperanzas se desvanecen al mirar que va hasta el Havre. Entonces, desesperado, se decídese a tomar entre las suyas las manos de su mujer. Después de todo, siendo casados, bien pueden manifestarse su ternura. La mirada del viejo se hace cada momento más severa y es tan evidente que desaprueba en absoluto aquellas muestras de afecto, que la pobre Hortensia se ruboriza y retira la mano.
Le train s ébranle; Hortense, désolée, tourne la tête et affecte de regarder le paysage: des larmes montent à ses yeux, elle 'ne voit pas seulement les arbres. Lucien cherche un moyen ingénieux de se débarrasser du vieux monsieur, et ne trouve que des expédients trop énergiques. Un moment, il espère que leur compagnon de route descendra à Mantes ou à Vernon. Vain espoir, le monsieur va jusqu'au Havre. Alors, Lucien, exaspéré, se décide à prendre la main de sa femme. Après tout, ils sont mariés, ils peuvent bien avouer leur tendresse. Mais les regards du vieux monsieur deviennent de plus en plus sévères, et il est si évident qu'il désapprouve absolument cette marque d'affection, que la jeune femme, rougissante, retire sa main.