-¡Oh, naturaleza, qué feliz es la hierba, que como yo es obra tuya! Cuando la cortan, renace, y es inmortal; y nosotras desventuradas ostras, en balde nos defiende una doble coraza, que unos malvados nos engullen a docenas para desayunarse, y se acabó para siempre. ¡Qué suerte tan horrenda la de una ostra! ¡Que inhumanos son los hombres!
«ô nature! que l'herbe, qui est comme moi ton ouvrage, est heureuse! Quand on l'a coupée, elle renaît, elle est immortelle; et nous, pauvres huîtres, en vain sommes-nous défendues par une double cuirasse; des scélérats nous mangent par douzaines à leur déjeuner, et c'en est fait pour jamais. Quelle épouvantable destinée que celle d'une huître, et que les hommes sont barbares!».