Al escuchar aquellas palabras, el hombre agarró un bastón y se puso a buscar por todos los rincones de la casa. Sus esfuerzos resultaron inútiles. Al día siguiente, cuando volvía a su casa, pasó por delante de una pescadería en la que había una dorada exactamente idéntica a su pretendida cena. Murmuró: «¡Ya te tengo, granuja!», la agarró y se la llevó a su casa. La vendedora se puso a perseguirlo, gritando e insultándolo. Todos los habitantes de la calle se retorcían de risa… Para calmar los ánimos, un señor le pagó el pescado a la vendedora.
À ces mots, l'homme se saisit d'un bâton et se mit à fouiller dans tous les coins de la maison. Ses efforts furent inutiles. Le lendemain, en rentrant chez lui, il passa devant l'étal d'une marchande de poissons qui présentait une daurade tout à fait semblable à son prétendu repas. Il murmura " je te tiens, friponne ", il s'en saisit et l'emporta chez lui. La marchande se mit à poursuivre Pierre, lui criant après et l'insultant. Tous les habitants de la rue se tordaient de rire... Pour calmer les esprits, un gentilhomme paya le poisson à la marchande.