Casi tan aturdido como la primera vez por todos los esplendores de Versalles, que aquella noche no estaba desierto, vagaba el caballero por la galería principal, mirando a todas partes e intentando averiguar para qué había ido allí; pero nadie parecía pensar en él. Al cabo de una hora de aburrimiento, pensaba marcharse, cuando dos máscaras exactamente iguales, que estaban sentadas en un diván, le detuvieron al pasar. Una de ellas le apuntó con el dedo como si tuviera una pistola; la otra se levantó y, dirigiéndose a él, le dijo, cogiéndose descuidadamente de su brazo:
Étourdi, presque autant que la première fois, par toutes les splendeurs de Versailles, qui, ce soir-là, n’était pas désert, le chevalier marchait dans la grande galerie, regardant de tous les côtés, tâchant de savoir pourquoi il était là; mais personne ne semblait songer à l’aborder. Au bout d’une heure, il s’ennuyait et allait partir, lorsque deux masques, exactement pareils, assis sur une banquette, l’arrêtèrent au passage. L’un des deux le visa du doigt, comme s’il eût tenu un pistolet; l’autre se leva et vint à lui :